mardi 30 juin 2015

Remède de grand- Mère : La Fleur d'oranger contre l'insomnie




Indications

Les fleurs de l'oranger amer sont utilisées pour lutter contre la nervosité et soigner les troubles du sommeil passagers (insomnie).

Ingrédients

Fleurs séchées de fleur d'oranger amer

Préparation

Infuser 20g de fleurs d'oranger dans 15cl d'eau bouillante. Filtrer.

Posologie

Boire la préparation le soir, au coucher.
En cas de persistance des symptômes, consulter un médecin.

Attention: les plantes ne sont pas des remèdes anodins. Ne jamais dépasser les doses indiquées.

Savoir choisir son vinaigre dans les boutiques



Blanc, balsamique, vinaigre de cidre, de vin... Lequel choisir et pour quelle utilisation ? Voici quelques précieux conseils pour s'y retrouver au supermarché et en cuisine parmi les nombreuses variétés de goûts et de gammes.

Balsamique et Xérès : méfiez-vous des sprays

  • Le vinaigre de Xérès (autour de 4/5 € le litre) est produit en Espagne et vieillit plus ou moins longtemps en fût de chêne.
  • Le vinaigre balsamique est produit dans la région de Modène dans le nord de l'Italie, à partir de moût de raisin. Son prix est très variable : de 5 € à une dizaine d'euros dans les grandes surfaces.
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  • Le balsamique "traditionnel" fermente plusieurs années dans des tonneaux de plus en plus petits et peut vieillir jusqu'à 50 ans. Il coûte évidemment beaucoup plus cher (plus de 100 € le litre).
  • Attention : les versions en "spray" à vaporiser dans les salades sont souvent plus chères pour une quantité égale.

Goût : évitez les premiers prix

  • "Les marques de distributeur ne posent pas de problème, mais mieux vaut tout de même éviter les premiers prix, qui sont souvent moins intéressants en termes de goût et de composition", conseille Angélique Houlbert. Ils risquent notamment de contenir davantage de conservateurs ou d'arômes artificiels... "Généralement, on n'en utilise pas des quantités énormes, la bouteille fait de l'usage, donc il vaut mieux choisir un bon vinaigre pour cuisiner, quitte à mettre 1 ou 2 € de plus", ajoute la nutritionniste.
  • Conseil : opter pour un bon vinaigre de vin "vieilli" ou "élevé en fût de chêne", qui est généralement un peu plus riche en arômes. Et privilégier le vinaigre de Xérès ou le vinaigre balsamique pour l'assaisonnement si on aime leur goût.


Vinaigre balsamique : 2 ingrédients à repérer sur l'étiquette

  • Idéalement, pour un vinaigre balsamique de qualité, le premier ingrédient listé sur l’étiquette doit être le moût de raisin et le second du vinaigre de vin en plus faible quantité. Ces produits existent en supermarché mais ils sont assez rares (par ex : vinaigre Itinéraire des Saveurs chez Intermarché). Mieux vaut privilégier aussi ceux qui ne contiennent pas de caramel ou d'autres additifs (listés sur l'étiquette avec un code commençant par la lettre E).

Côté appellation, les termes :

  • - "Vinaigre balsamique traditionnel de Modène" et "DOP", correspondant à une Appelation d'origine protégée (AOP), sont gages de qualité mais ne se retrouvent pas sur les produits vendus en supermarché.
  • - En revanche, l'IGP (indication géographique protégée) "vinaigre balsamique de Modène" existe mais n’offre pas de garanties en dehors de la région de production : elle n’exige qu’un vieillissement de 60 jours et autorise la coloration au caramel, ne requiert qu’un minimum de 20% de moût de raisin (le reste étant du vinaigre de vin) et ne réglemente pas l’origine des raisins..


Goût : évitez les premiers prix

  • "Les marques de distributeur ne posent pas de problème, mais mieux vaut tout de même éviter les premiers prix, qui sont souvent moins intéressants en termes de goût et de composition", conseille Angélique Houlbert. Ils risquent notamment de contenir davantage de conservateurs ou d'arômes artificiels... "Généralement, on n'en utilise pas des quantités énormes, la bouteille fait de l'usage, donc il vaut mieux choisir un bon vinaigre pour cuisiner, quitte à mettre 1 ou 2 € de plus", ajoute la nutritionniste.


Conseil :
  • Opter pour un bon vinaigre de vin "vieilli" ou "élevé en fût de chêne", qui est généralement un peu plus riche en arômes. Et privilégier le vinaigre de Xérès ou le vinaigre balsamique pour l'assaisonnement si on aime leur goût.


Vinaigres aromatisés : privilégiez "arôme naturel" et non "artificiel"

  • "Pour les vinaigres aromatisés comme celui de framboise, il faut scruter l'étiquette et privilégier la mention "arôme naturel" pour être sûr que le goût n'est pas apporté par un arôme artificiel", conseille Angélique Houlbert.


A surveiller aussi : 
  • La plupart des vinaigres de vin contiennent des "sulfites" (issus du vin ou ajoutés comme conservateurs) et certaines personnes peuvent y être  maux de tête...



Vinaigre bio ou pas ?

  • "Il est toujours intéressant de choisir du bio car les vignes et les pommes à partir desquels sont fabriqués le vinaigre font partie des fruits les plus contaminés par les pesticides. Ca vaut le coup d'autant que la différence de prix entre un vinaigre bio et non bio est souvent de moins d'un euro", estime la nutritionniste.


Pour le vinaigre balsamique :
  • On a intérêt à se tourner vers le bio car dans les non bio un colorant, le E150d, suspecté d'être cancérigène, est souvent utilisé pour lui donner sa jolie couleur.


Choisir son vinaigre en cuisine

  • Le choix du type de vinaigre se fait en fonction du goût mais aussi de l'utilisation qu'on souhaite en faire en cuisine. 
  • Le vinaigre de vin pour l'assaisonnement et les marinades : il peut être utilisé dans les vinaigrettes (vin rouge pour les salades de choux, vin blanc pour les autres crudités par exemple) ou en marinade et pour déglacer les viandes et confectionner des sauces. "Dans ce cas, on utilise plutôt le vinaigre de vin blanc pour les viandes blanches et volailles et le vinaigre de vin rouge pour les viandes rouges", précise Angélique Houlbert.


Le vinaigre de Xérès et le vinaigre balsamique pour le goût : 
  •      ils sont intéressants en assaisonnement pour relever les crudités, salades, légumes cuits et même les fruits.
  •     On obtient un très beau mariage en laissant mariner des fraises au moins 2 heures avec du vinaigre balsamique et un peu de sucre de canne complet.


vinaigre blanc pour préparer ses conserves : 
  •      Peu utilisé en cuisine, il est en revanche très utile pour préparer des bocaux de légumes maison : cornichons, oignons, salicornes, câpres... Utiliser un vinaigre de vin donnerait un goût trop prononcé" précise la nutritionniste. Il peut servir aussi à déglacer une viande blanche ou à préparer une sauce pour les crustacés type sauce à l'échalote pour les huîtres.


 Le vinaigre de cidre pour accompagner poissons et crustacés 
  • issu de la fermentation du jus de pommes, il a un goût légèrement plus fruité et sucré que le vinaigre de vin. "Son acidité légèrement inférieure peut plaire à ceux qui n'apprécient pas le côté acide du vinaigre de vin", note Angélique Houlbert. Il accompagne bien les poissons et crustacés (par exemple dans les courts-bouillons ou dans la sauce pour les huîtres) et est intéressant pour préparer des harengs ou maquereaux marinés. Enfin, on peut l'utiliser dans les chutneys ou pour cuisiner une volaille type poulet au vinaigre de cidre.

  • Le vinaigre de riz pour la cuisine asiatique : 
      Blanc ou rouge, issu de la fermentation lente du riz gluant, il est très utilisé en cuisine asiatique, par exemple dans le riz vinaigré qui entre dans la composition des sushis ou makis.
Des vinaigres aromatisés pour donner du goût : il existe de nombreux vinaigres de vin aromatisés avec des herbes ou plantes aromatiques (ail, estragon, échalote, estragon...) ou encore des fruits (framboise, noix....
"Ils sont très agréables pour les vinaigrettes et l'assaisonnement. Le vinaigre de framboise ou de noix se marie par exemple très bien 
Tous se valent au niveau nutritionnel
  • "Tous les vinaigres sont assez proches en termes de valeur nutritionnelle : ils sont très peu caloriques (environ 22 kcal aux 100 ml) et apportent surtout de l'eau mais aucune vitamines ni minéraux. Certains, comme le vinaigre de vin rouge ou de cidre, sont un peu plus riches en antioxydants type polyphénols mais on n'en consomme jamais suffisamment pour que ce soit significatif", estime Angélique Houlbert, diététicienne-nutritionniste, auteur de La meilleure façon de manger – Nouvelle édition. On choisit donc son vinaigre surtout en fonction du goût et de l'utilisation qu'on souhaite en faire.
Bon à savoir : 
  • Consommer une bonne cuillère à café de vinaigre (par exemple dans la vinaigrette) permet de diminuer l'index glycémique d'un repas d'environ 30%, en raison de l'acidité qu'il apporte (tout comme un jus de citron). "Pour la même raison, il favorise la digestion chez les personnes qui ont tendance à être ballonné mais est à éviter chez celles qui souffrent de gastrite ou d'ulcère, pour ne pas ajouter de l’acidité", précise la nutritionniste.
  • aromatisés sont les plus chers
  • Il existe différentes gammes de prix selon le vinaigre choisi. Le vinaigre blanc (un vinaigre fabriqué à base d'alcool, le plus souvent de betterave) est le moins cher (moins de 0,50 € le litre). C'est d'ailleurs celui qu'on utilise aussi pour le ménage, en raison de ses propriétés dégraissantes, désinfectantes et antitartre. 
  • Viennent ensuite les vinaigres de vin rouge ou blanc (autour d'1 € le litre), le vinaigre de cidre (2 à 4 € le litre environ) et les vinaigres aromatisés (entre 3 et 5 € le litre en moyenne).

  • Tous se valent au niveau nutritionnel
  • Tous les vinaigres sont assez proches en termes de valeur
  • nutritionnelle.
  • Ils sont très peu caloriques (environ 22 kcal aux 100 ml) et apportent surtout de l'eau mais aucune vitamines ni minéraux. Certains, comme le vinaigre de vin rouge ou de cidre, sont un peu plus riches en antioxydants type polyphénols mais on n'en consomme jamais suffisamment pour que ce soit significatif", estime Angélique Houlbert, diététicienne-nutritionniste, auteur de La meilleure façon de manger – Nouvelle édition. On choisit donc son vinaigre surtout en fonction du goût et de l'utilisation qu'on souhaite en faire.

Bon à savoir : 
  • Consommer une bonne cuillère à café de vinaigre (par exemple dans la vinaigrette) permet de diminuer l'index glycémique d'un repas d'environ 30%, en raison de l'acidité qu'il apporte (tout comme un jus de citron). "Pour la même raison, il favorise la digestion chez lespersonnes qui ont tendance à être ballonnées mais est à éviter chez celles qui souffrent de gastrite ou d'ulcère, pour ne pas ajouter de l’acidité", précise la nutritionniste.

Prunes rôties au miel



Prunes rôties au miel
  • Temps de préparation : 25 minutes
  • Temps de cuisson : 20 minutes
  • Difficulté : Facile
  • Budget : Pas cher 

Ingrédients pour la recette de Prunes rôties au miel
  • 20 prunes bien mûres,
  • 100 grammes de sucre semoule
  • 15 cl de miel liquide,
  • 50 grammes d’amandes en poudre.

Réalisation de la recette de Prunes rôties au miel
  1. Préchauffer le four à 180°C ou th 6.
  2. Laver les prunes, les dénoyauter et les couper en deux.
  3. Disposer les fruits dans un plat, les arroser de miel, les saupoudrer de sucre et d’amandes en poudre.
  4. Enfourner à 180°C durant une vingtaine de minutes. Terminer la cuisson en mettant le four en position grill durant quelques minutes.
  5. Servir chaud ou tiède.

Porc mijoté aux prunes



Porc mijoté aux prunes
  • Temps de préparation : 20 minutes
  • Temps de cuisson : 25 minutes
  • Difficulté : Facile
  • Budget : Facile
  • Recette pour 2 personnes 

Ingrédients pour la recette de Porc mijoté aux prunes
  • 300 grammes de porc,
  • 30 gammes de prunes des quetsches,
  • 33 cl de bière brune
  • 1 oignon jaune,
  • 1 cuillère à soupe d’huile
  • 1 bâton de cannelle
  • ½ étoile de badiane
  • 4 pincées de sel fin de cuisine,
  • 1 pincée de poivre noir moulu.

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Réalisation de la recette de Porc mijoté aux prunes
  1. Dans une cocotte, faire dorer l’oignon émincé, dans un peu d’huile.
  2. Ajouter le porc coupé en morceaux, l’anis, la cannelle.
  3. Saler et poivrer.
  4. Faire dorer la viande durant quelques minutes.
  5. Puis, verser la bière.
  6. Porter à ébullition.
  7. Fermer la cocotte avec un couvercle.
  8. Laisser cuire pendant environ 45 minutes.
  9. Retirer du feu.
  10. Laisser sortir la vapeur.
  11. Laver les prunes.
  12. Les dénoyauter.
  13. Les couper en deux.
  14. Ouvrir la cocotte.
  15. Ajouter les prunes.
  16. Remettre sur le feu.
  17. Laisser mijoter une dizaine de minutes à feu doux, juste le temps de cuire les prunes, sans les réduire en purée.
  18. Servir bien chaud.
  19. Accompagner de pommes de terre vapeur, de purée ou de riz.